Acheter une Peugeot d’occasion en 2025 ? Gare à la désillusion. Sous le charme du Lion, certains modèles cachent des pièges mécaniques coûteux et des défaillances récurrentes qui risquent de vous ruiner. Entre moteurs essence à la pompe défaillante et diesels truffés de failles, sans oublier des soucis électroniques qui rendent le quotidien insupportable, il est urgent de connaître les modèles à éviter absolument. Ce dossier sans concessions vise à vous éviter les embrouilles et les factures astronomiques, pour que votre choix ne se transforme pas en cauchemar mécanique. Découvrez quelles Peugeot fuir à tout prix, et les alternatives sérieuses qui existent encore sur le marché.
Moteurs Peugeot à éviter en 2025 : Les bombes à retardement sous le capot
Plongeons directement dans le vif du sujet avec les motorisations Peugeot qui vous feront regretter chaque kilomètre parcouru.

Essence : 1.2 PureTech, 1.6 THP et 1.4 16v, les boulets à abandonner
Le 1.2 PureTech (2014-2018) est le prototype du moteur qui vous vide le portefeuille. Sa courroie de distribution baignant dans l’huile se dégrade rapidement, pollue le circuit de lubrification et gangrène le moteur. Attendez-vous à une consommation d’huile délirante pouvant atteindre 1L aux 1000 km, et à des soupapes encrassées qui réveillent le garagiste pour des nettoyages hors de prix. La Commission européenne a dû lancer un rappel en novembre 2020. Le hic ? La pompe à vide parfois défaillante, qui peut réduire lâchement l’assistance au freinage. Les modèles 208, 2008, 308, 3008, 5008 et Partner sont les victimes préférées de ce cauchemar mécanique, avec des frais de réparation oscillant entre 2500€ et 3500€.
- 💥 Courroie de distribution qui se désintègre
- 🛢️ Consommation d’huile hors normes
- 💰 Coût des réparations exhorbitants
Le 1.6 THP (2006-2012) n’est pas un moins mauvais choix. Pompe haute pression capricieuse, chaîne de distribution qui s’allonge prématurément, risques de surchauffe et calages fréquents : bienvenue dans le monde du dérapage contrôlé du moteur. Restez vigilant au-delà de 80 000 km, où le moteur peut purement et simplement lâcher, avec des frais dépassant allègrement les 3000€.
- 🔧 Pompe haute pression fragile
- ⛔ Chaîne de distribution qui lâche prématurément
- 🔥 Risques de surchauffe fréquents
Enfin, le 1.4 16v (TU3JP), vieux moteur des entrailles Peugeot, trahit lui aussi. Joint de culasse fragile et ratés d’allumage récurrents gâchent la fête. Ses fans de casinos en ligne s’en plaignent régulièrement : perte de puissance et pannes imprévisibles sont la norme.
🔍 Motorisation | 🛑 Problèmes principaux | 💶 Coût moyen des réparations |
---|---|---|
1.2 PureTech (2014-2018) | Courroie de distribution, consommation d’huile | 2500€ – 3500€ |
1.6 THP (2006-2012) | Pompe haute pression, chaîne de distribution | 3000€ – 4000€ |
1.4 16v (TU3JP) | Joint de culasse, ratés d’allumage | 1500€ – 2500€ |
Diesel Peugeot : 1.6 HDi/BlueHDi, 2.0 HDi et 1.5 BlueHDi, l’enfer mécanique
Passons au diesel. Le 1.6 HDi/BlueHDi (2004-2014) est un festival de galères : volant bi-masse à changer vers 150 000 km, turbo capricieux, vanne EGR squattant le garage, injecteurs à remplacer à prix d’or, et un charme redoutable avec son FAP bouché en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Les sensations ? Vibrations au ralenti et claquements désagréables aux changements de rapport sont monnaie courante.
- ⚙️ Volant bi-masse fragile
- 🌪️ Turbo et vanne EGR faibles
- 💸 Injecteurs couteux à remplacer
Le 2.0 HDi 136/140 (avant 2010) n’est pas en reste : turbo fragile et injecteurs défaillants dès 120 000 km. Garantie d’une facture salée de plus de 3000€ en cas de remplacement. Le joint de culasse et la vanne EGR sont autant de bombes à retardement prêtes à exploser.
À ces déboires s’ajoute le 1.5 BlueHDi (2014-2023) avec sa chaîne de distribution instable, ses saccades moteur, ses problèmes de pression et de système AdBlue, son démarrage archi-difficile quand il fait froid, et un filtre à particules qui aime se colmater rapidement, ruinant les trajets courts.
🛠️ Moteur | ❌ Dysfonctionnements | 💰 Coût estimé |
---|---|---|
1.6 HDi/BlueHDi (2004-2014) | Volant bi-masse, turbo, vanne EGR, injecteurs | 2000€ – 3000€ |
2.0 HDi 136/140 (avant 2010) | Turbo fragile, injecteurs, joint de culasse | 3000€+ |
1.5 BlueHDi (2014-2023) | Chaîne de distri fragile, saccades, AdBlue, FAP | Varie |
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Peugeot Boxer, Expert ou même le Partner ne sont pas épargnés par ces mécaniques capricieuses. Mieux vaut donc éviter l’aventure avec les moteurs les plus fragiles et privilégier des modèles plus fiables.
Les Peugeot 2008 à éviter absolument : entre PureTech défaillant et électronique hasardeuse
Le Peugeot 2008 séduit par son look moderne, mais sous le capot, certaines motorisations sévèrement défaillantes en 2025 vous feraient presque regretter votre achat. Le PureTech 100, par exemple, est une vraie grenade dégoupillée qui balance des vibrations excessives et une perte de puissance croissante. Sur les forums, les témoignages d’utilisateurs frustrés pleuvent, sapant la confiance en ce moteur.
- 🚫 Vibration et perte de puissance inquiétantes
- ⚠️ Perte de valeur sur le marché de l’occasion de l’ordre de 20% à 30%
Plus costaud en apparence, le PureTech 130 ne fait pas beaucoup mieux : bruit déplaisant à haut régime, consommation fuel supérieure à celle annoncée et électronique capricieuse sont au menu. L’expérience de conduite s’en ressent, devenant par moment une source d’agacement chronique. La nièce du Lion, la nouvelle e-208, propose quant à elle des améliorations significatives en termes d’équipements et autonomie. Pour plus de détails, faites un tour sur Roadson.fr.
- 🔊 Bruit moteur désagréable
- ⛽ Consommation excessive en carburant
- ⚙️ Problèmes électroniques récurrents
Le BlueHDi 130, lui, n’a pas la panoplie du moteur fiable non plus, devenant rapidement une source de tracas avec son filtre à particules capricieux, qui finit souvent par coûter cher à remplacer. Près de 40% des utilisateurs ont signalé ces pannes, surtout chez ceux roulant de façon urbaine.
🚩 Motorisation 2008 | ⚠️ Problèmes observés | 💸 Coût/Impact |
---|---|---|
PureTech 100 | Vibrations, perte de puissance | Dépréciation jusqu’à 30% |
PureTech 130 | Bruit, surconsommation, électronique | Coûts supérieurs à la moyenne |
BlueHDi 130 | Filtre à particules, panne coûteuse | 1500€ remplacement FAP |
Versions 2014-2016 : le talon d’Achille électronique
Si vous pensez vous offrir un Peugeot 2008 de cette période, mieux vaut ouvrir grand les yeux. Les défaillances électroniques – du système de navigation figé aux alertes fantômes sur le tableau de bord – marquent ces modèles d’une stigmatisation durable. Les réparations peuvent rapidement grimper, grevant lourdement votre budget.
- ⚡ Pannes électroniques fréquentes
- 🛠️ Réparations coûteuses et récurrentes
- 🚗 Privilégier les modèles récents et corrigés
Pour mieux cerner les nuances, explorez notre sélection des meilleures voitures d’occasion 2025 et évitez les pièges.
Alternatives fiables chez Peugeot : où trouver le vrai Lion sans faire mordre la poussière à votre portefeuille
Heureusement, Peugeot ne se réduit pas à ces catastrophes annoncées. Certaines motorisations résistent sans faillir :
- 🦁 1.9D (XUD9) : diesel atmosphérique robuste, dépasse aisément les 400 000 km avec un entretien basique.
- 🦁 2.0 HDi 90 (DW10TD) : une valeur sûre, avec une distribution simple et un turbo solide.
- 🦁 1.6 HDi 92 (post-2010) : fiabilité améliorée grâce à un turbo redimensionné et injection optimisée.
- 🦁 1.6 BlueHDi 100 et 2.0 BlueHDi 150/180 (après 2015) : performances et sobriété sont leur credo, surtout avec les boîtes automatiques EAT6/EAT8.
Si vous contemplez l’achat d’un Partner, Expert ou Boxer, vous gagnerez à privilégier ces moteurs éprouvés. Et pour ne rien rater des bons plans Peugeot, visitez régulièrement Roadson.fr.
🦁 Motorisation fiable | ✔️ Avantages | 🔧 Entretien |
---|---|---|
1.9D (XUD9) | Injection mécanique robuste, simplicité | Entretien basique |
2.0 HDi 90 (DW10TD) | Turbo solide, distribution simple | Maintenance classique |
1.6 HDi 92 (post-2010) | Fiabilité améliorée | Injection optimisée |
1.6 BlueHDi 100 / 2.0 BlueHDi 150/180 | Sobriété, performance | Adapté EAT6/EAT8 |
Un dernier conseil pour éviter la catastrophe : exigez toujours un historique d’entretien complet, prouvé par des factures et assurez-vous que tous les rappels ont été réalisés, notamment sur les 1.2 PureTech. Contrôlez l’échappement propre au démarrage, et investissez dans un diagnostic électronique avant de sortir votre carnet de chèques. Vous éviterez ainsi le pire.

Liste incontournable pour un achat raisonnable de Peugeot d’occasion en 2025 📋
- ✔️ Vérifier l’historique complet (entretiens, factures)
- ✔️ S’assurer que les rappels constructeur ont été effectués
- ✔️ Préférer les modèles postérieurs à 2019 pour les PureTech et post-2015 pour les diesels
- ✔️ Contrôler l’échappement et les fumées au démarrage à froid
- ✔️ Faire réaliser un diagnostic électronique approfondi avant achat
FAQ : Ce qu’il faut savoir avant de craquer pour une Peugeot en 2025
- Q : Quels modèles Peugeot éviter absolument en 2025 ?
R : Les motorisations à fuir incluent le 1.2 PureTech (2014-2018), 1.6 THP (2006-2012), 1.6 HDi/BlueHDi (2004-2014) et certains 2008 PureTech 100. - Q : Quels moteurs Peugeot sont encore fiables pour un achat d’occasion ?
R : Optez pour les diesels 1.9D (XUD9), 2.0 HDi 90 (DW10TD), et les motorisations BlueHDi post-2015, ou encore le 1.6 HDi 92 après 2010. - Q : Pourquoi éviter un Peugeot 2008 des années 2014-2016 ?
R : À cause de problèmes électroniques récurrents qui peuvent engendrer des coûts de réparation importants et une perte de confort notable. - Q : Le Peugeot Partner est-il concerné par ces soucis moteurs ?
R : Oui, certaines motorisations équipant Partner, Expert ou Boxer sont tout aussi problématiques, il faut donc être prudent et privilégié les moteurs fiables. - Q : Comment sécuriser son achat de Peugeot d’occasion ?
R : Contrôle minutieux de l’historique, vérification des rappels, diagnostic électronique et préférence pour les modèles récents sont la seule garantie d’éviter les mauvaises surprises.